Le Matricule des Anges célèbre Ivar Ch’Vavar (mai 2024). « Il est grand. Un Haut de France, de Picardie ! Il peut paraître immense à l’instar d’un René Char dont il détourne, iconoclaste, les Feuillets d’Hypnos en Feuillées d’Hypnos. Il s’exprime d’une voix forte, qui incante, d’une écriture hénaurme, inventive, folle, qui cascade d’aval en amont, prosaïque, métabolique, obscène, contrainte… les mots manquent. » (Dominique Aussenac). On peut lire aussi, sur Ivar, quelques notes ici.