
Malcolm de Chazal est tout entier contenu dans le passage suivant : « Un jour, par une après-midi très pure, je marchais quand, face à un bosquet d’azalées, je vis pour la première fois une fleur d’azalée me regarder… Un pont s’établit entre moi et l’univers. » (Sens unique, 1974 – il reviendra souvent sur ce moment-clef). Je vais tâcher d’emprunter, à mon tour, les chemins d’azalées, de sorte à y exercer ma propre rêverie. [à lire en entier sur Poesibao].
On me signale le poème « Electra on Azalea Path » (Sylvia Plath), dont le titre peut évoquer les sentiers que j’emprunte ici. Il est d’autant plus curieux que je n’ai pas songé alors à ce poème, que je travaille précisément sur SP depuis quelque temps…