
Les notes de La Voix de l’érable, qui s’échelonnent de mars 1995 à septembre 1997, témoignent d’une aventure de la pensée dont la portée est, là encore, à la fois particulière et universelle. À mieux dire, on assiste à une aventure dans la pensée, à un périple intellectuel. Munier le dit excellemment : « Toute vie est voyage vers les confins, par prudence ralenti ou même différé, car il est sans retour. » Alors allons-y. [à lire en entier sur Sitaudis]