
Le poème de Thierry Metz se tient au-delà, ou en-deçà de la poésie. J’en parlais, il y a quelques années, au sujet de L’Homme qui penche, sur Poezibao [voir ici]. On ne peut que se réjouir de la parution dans la collection « Poésie/Gallimard » de Lettres à la Bien-aimée et autres poèmes de Thierry Metz. J’ai l’honneur et le plaisir de proposer une note consacrée à ce livre sur Sitaudis [voir ici].