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114 j’aime Jude Stéfan qui ne seront finalement que 27 environ

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J’aime l’allure de certains poèmes de Jude Stéfan, déterminés raides tendus depuis le dedans, trouvant leur détermination, faisant de vertige nécessité, dans une manière maniérée de hantise toujours du dehors, une réminiscence — l’obstination du lichen — souvenir impérieux qui s’enracine mais dans quoi? dans l’impensable, peut-être, dans un grand rêve de chair bordé de joyeux néant pour sûr, parce que, c’est bien connu, sur ce dont on ne peut parler il faut faire le poème.

Carte blanche accordée par Florence Trocmé sur poezibao.

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