Cela débute avec le souvenir des lectures d’enfance. Beaucoup de livres de poésie. Leperlier est né en 1949. On peut dire qu’il a eu cette chance. Il s’en rend bien compte aujourd’hui : « J’ai échappé aux nullités de la poésie pour la jeunesse triée par les pédagogues patentés, dont on enniaise aujourd’hui les écoliers avant de les écœurer pour de bon. » Alors, oui, les tenants de ce progressisme échevelé qui est celui de notre époque auront beau jeu de faire de Leperlier un énième chantre du « c’était mieux avant ». Mais bien sûr. Passez donc votre chemin, oubliez ce livre terrible et accablant. Il n’est pas vraiment fait pour vous. [lire tout]