
La question du vers est toujours vivante. Sans doute qu’elle est éternelle, mais quid de la prose poétique, du poème en prose, du vers libre ainsi que de, surtout, leurs rapports ? N’y aurait-t-il pas, en somme (la réponse est et n’est pas inscrite dans la question), un vaillant pont aux ânes allant de prose en poésie ? une passerelle de singe jetée en retour entre poésie et prose ? Ou, au contraire, discontinuité ? Rupture vraiment ? Ou alors, continuum continument ? En est-on bien sûr ? C’est peut-être un faux débat, mais il est passionnant. À la demande de Jean-Pascal Dubost, je vais m’y engager pour ce qui est du poème de Jean-Paul Klée. [lire l’article entier sur poezibao]