
Publication dans La Revue* (Julien Nègre éditeur) d’une version remaniée d’un texte initialement paru sur Poezibao.
J’aime les fleurs chez Jude Stéfan, car elles ne sont pas seulement de rhétorique.
J’aime les oiseaux chez Jude Stéfan, tsi-tsi-u u u u fait la mésange.
J’aime à m’user les prunelles sur les vers de Jude Stéfan, autant d’images brisées, et pourtant très nettes.
J’aime le cahin-caha du désespoir chez Jude Stéfan, il me fait penser à un cabri en flanc de falaise.